"Soyons fermes, purs et fidèles ; au bout de nos peines, il y a la plus grande gloire du monde, celle des hommes qui n'ont pas cédé." Charles de Gaulle.

lundi 27 juin 2011

La butte de Mousson...

Dans le n° 8 de la nouvelle « Revue Lorraine » de Jean-Marie CUNY, un article fort intéressant sur la butte de Mousson haute de 382 mètres qui domine les vallées de la Moselle et de la Seille et sur les ruines de son château féodal. (cliquez pour agrandir)


mardi 21 juin 2011

Des élus se fourvoient dans le soutien aux clandestins !


Des élus se fourvoient dans le soutien aux clandestins !

L’Est Républicain dans son édition mussipontaine s’est fait l’écho du soutien de six élus dont la Vice-présidente du Conseil Régional Jacqueline FONTAINE d’Europe Ecologie et le Vice-président socialiste au Conseil Général Olivier JACQUIN à des familles locales arméniennes, kosovares, marocaines, turques qui habitent Pont-à-Mousson ou Pompey menacées d’expulsion en organisant un parrainage républicain.
Bernard BERTELLE, adjoint au maire de Blénod-les-Pont-à-Mousson déclare même dans les colonnes du journal régional « Quand on m’a expliqué leur situation, j’ai dit, pas de souci, je suis disponible. Je ne sais pas dans quoi je me lance, mais il n’y a pas de risque à prendre cet engagement ».

Cette attitude des élus de gauche est scandaleuse parce que ces clandestins sont en France à la demande d’un certain patronat sans scrupules pour faire pression à la baisse sur les salaires des Français dont elle a oublié l’existence. Alors que de nombreux habitants de Pont-à-Mousson ne peuvent boucler leurs fins de mois ce soutien aux clandestins démontre le choix clair fait par la gauche : l’abandon des Français en détresse sociale au profit de « l’armée de réserve du capitalisme » : les immigrés.

Cette attitude des élus de gauche est illégale. Les « parrainages républicains » sont des actions faites en contradiction totale de la loi républicaine qui cherchent à faire échec à l’exécution de la loi (manœuvres sanctionnées par les articles 432-1 et 342-2 du code pénal).

En ne dénonçant pas au procureur de la république les délits dont ils ont connaissance (faute sanctionnée par l’article 40 alinéa 2 du code de procédure pénale) ces élus violent l’article L.622-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers en France, qui prévoit que :

« Toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l’entrée, la circulation ou le séjour irrégulier d’un étranger en France sera punie d’un emprisonnement de 5 ans et d’une amende de 30.000 euros »

Jean-Luc MANOURY, Vice- président du groupe FN au Conseil Régional de Lorraine manifeste sa totale opposition aux régularisations d’immigrés clandestins « sans papiers » et aux « idiots utiles » qui au nom d’un humanitarisme dévoyé se font les complices de la « traite négrière » du XXI siècle...

samedi 18 juin 2011

IN MEMORIAM


Jean-Luc MANOURY, membre du Comité Central, Vice-président du groupe Front National au Conseil Régional de Lorraine et les membres du bureau départemental de la fédération de Meurthe-et-Moselle ont la grande tristesse de vous annoncer le décès de Michel DECLE, survenu le jeudi 15 juin 2011 à l’âge de 72 ans

Ancien combattant de la guerre d’Algérie et du Sahara, restaurateur à la retraite, Secrétaire Départemental, adjoint honoraire, vieux militant de la cause nationale il était présent au 14ème Congrès de Tours le 15 et 16 janvier 2011 où il avait soutenu la candidature de Marine LE PEN.

Il présente au nom des patriotes de la Meurthe-et-Moselle toutes les condoléances émues à sa famille dans cette terrible épreuve.

jeudi 16 juin 2011

AGENDA du 16 au 30 juin 2011


18 juin
Commémoration de l’appel du 18 juin (Nancy)

20 juin
Conférence des Présidents (Metz)
Commissions techniques préparatoire au P.N.R.L (Pont-à-Mousson)

21 juin
Visite de l’usine Saint Gobain (Pont-à-Mousson)

23 juin
Sortie amicale du C.T.A.C (Alsace)

24 juin
Commission Technique Questions d’aménagements d’équipement et de
constructions (Metz)

26 juin
Cérémonie du 50ème anniversaire du Mémorial de la captivité (Montauville)
Foire au bœuf (Pont-à-Mousson)

27 juin
Comité Syndical du Parc Naturel Régional de Lorraine (Pont-à-Mousson)

30 juin
Séance Plénière au Conseil Régional de Lorraine (Metz

Le décollage manqué des alérions de la Lorraine


La modification souhaitée par l’exécutif sur le logo de Charlélie Couture, pour une enveloppe de cent mille euros, a été retoquée, mardi, en commission des marchés publics. Explication.

Le dessin original s’enrichit d’une voile qui se substitue, en fond des alérions, au losange jaune qui y figurait.

Du plomb dans l’aile ! La volonté de l’exécutif Masseret de dépoussiérer le logo du conseil régional se heurte à l’incrédulité d’une partie des élus. Dessiné en 1993 par Charlélie Couture, le sigle revisite les alérions, symbole de la Lorraine, inversant au passage le sens de lecture du blason.

Il y a quelques semaines, l’exécutif du conseil régional confie à ses services de communication un lifting du logo, jugeant sans doute insuffisant le précédent relookage, vieux de deux ans. Souci de légèreté ou de modernité ? Toujours est-il que le dessin original s’enrichit d’une voile qui se substitue, en fond des alérions, au losange jaune qui y figurait. L’idée une fois couchée sur le papier – et déjà visible sur le site internet de la Région et sur Mylorraine.fr – nécessite la déclinaison d’une charte graphique.

D’où la procédure d’un appel d’offres afin de mandater un studio de communication pour finaliser la manœuvre. Une enveloppe de cent mille euros est prévue à cet effet. Une première fois, la commission des marchés publics demande des explications supplémentaires et renvoie le dossier à plus tard.

Examinant à nouveau l’affaire mardi, ladite commission, présidée à huis clos par Michaël Weber (PS), ne s’est guère montrée plus conciliante. Elle a, en effet, rejeté par trois voix (UMP, FN… et EELV !) contre deux (PS), les deux offres de candidature pour un montant respectif de 80 000 et 70 000 €. Une décision faute de combattants dans les rangs de la majorité. Et ce, en dépit de la montée en première ligne de Françoise Herment, directrice de la communication, venue défendre elle-même la procédure retenue. Objection de Jean-Luc Manoury (FN) : « On ne peut pas justifier de telles dépenses dans le contexte de crise sociale qu’on connaît ». Pas d’accord, Michaël Weber relativise le coût de l’opération : « A la différence de ce qui avait été entrepris il y a deux ans, le gros du travail a cette fois été réalisé en interne ». Entendre, une sacrée économie pour les Lorrains. Laquelle devra être défendue, la prochaine fois, en séance plénière… Quant à Charlélie, l’auteur du logo, pas sûr qu’il goûte le rafraîchissement opéré.

Deux audits

Pour la Région, ce contretemps alourdit un peu plus le calendrier des appels d’offres en cette fin de saison. L’administration épluche toujours les dossiers déposés à la suite de l’avis d’appel public à la concurrence pour « un audit organisationnel des services » ( lire RL du 24 mai).

Cette mission de dix-huit mois, confiée à un cabinet extérieur pour un coût de 193 000 €, soulève de vives critiques dans les rangs de l’opposition. Joël Berger, directeur général des services, dément toutefois avoir mis un terme à la procédure — « Elle est à l’examen », confirme-t-il. Dégât collatéral, l’affaire a même provoqué du tangage au sein du Cesel. Tenté de répondre à l’appel d’offres, au titre de son cabinet de consultant, Philippe Buron-Pilatre se serait finalement ravisé sous l’amicale pression de plusieurs membres de l’institution, dont le président Roger Cayzelle. « Comme membre du Cesel, je n’ai jamais sérieusement envisagé être l’auditeur de la Région », rectifie Philippe Buron-Pilatre.

Également dans les tuyaux, un deuxième audit est en cours de procédure. baptisé « Vision stratégique pour la Lorraine », il porte sur la désignation d’un cabinet extérieur pour une mission économique de quatre ans. « Comme ci ça n’était pas le rôle des élus de défendre une politique économique », s’insurge Nathalie Colin-Osterlé (Nouveau Centre).
Xavier BROUET.

Article du Républicain Lorrain du 16 Juin 2011

L’esprit du 18 juin !


A l’approche de la commémoration de l’appel du 18 juin par le général de gaulle, alors que de nombreux électeurs et militants de l’UMP, adhérent au Front National qui incarne avec Marine LE PEN « l’esprit de résistance », Jean-Luc MANOURY, Vice-président du groupe Front National, au Conseil Régional de Lorraine lance un appel à tous ceux qui ont « une certaine idée de la France ».
Après son investiture le 28 juin, Il conduira vraisemblablement aux élections sénatoriales une liste dans l’esprit du 18 juin avec les patriotes de droite ou de gauche.
Jean Claude VAGNER candidat « divers droite » aux élections cantonales à Pont-à-Mousson qui défendait les mêmes valeurs sur la sécurité peut éventuellement s’il le souhaite franchir le pas comme d’anciens UMP déçus par un Nicolas SARKOZY fossoyeur du gaullisme.

Jean-Luc MANOURY, Secrétaire du canton de Pont-à-Mousson et tête de liste aux élections sénatoriales.

mercredi 15 juin 2011

LA GUERRE DES TERRASSES (épisode 2)


Suite à la mise en demeure de la mairie demandant à Cyril BATT le gérant de la « Galette d'Or » de démonter sa terrasse, Jean-Luc MANOURY, secrétaire Front National du canton de Pont-à-Mousson a tenu à rencontrer ce commerçant dynamique.
Ce dernier lui a affirmé qu'il a fait les démarches nécessaires pour obtenir l'autorisation d'installer sa terrasse et que la mairie n'a jamais daigné lui répondre.
Membre de l'association ATOUT-PONT, y aurait-il une relation de cause à effet ?
Jean-Luc MANOURY

vendredi 10 juin 2011

LE JANUS DE PONT-A-MOUSSON


Loin d’être un long fleuve tranquille, la vie politique mussipontaine nous joue parfois bien des tours. Si la majorité des élus se salue par courtoisie républicaine. Il n’en est pas de même pour monsieur MOUTET Jean-François, quatrième adjoint qui perdure à ne pas vouloir me serrer la main en public.

Côté cour, lors de l’inauguration du monument en l’honneur des médaillés le 03 avril 2011, il dit devant témoins : « qu’il est républicain, que nous n’avons pas les mêmes valeurs et qu’il ne me sert pas la main ». Le 08 juin 2011 lors de la commémoration des victimes en Indochine, il réitère son attitude discriminatoire en refusant catégoriquement de me serrer la main.

Côté jardin, le 16 mai 2011 alors que je déjeune tranquillement dans le même restaurant de la place Duroc, monsieur MOUTET se lève de sa table et se dirige vers la mienne pour me parler. Il reconnait implicitement qu’il a eu tort de m’agresser verbalement et me dit que je fais fausse route en parlant au conseiller municipal socialiste Julien VAILLANT et au président des commerçants Jean-Luc HAAS.

D’après lui, mon intérêt politique est d’être en bon terme avec lui comme Vice-président du C.C.A.S et adjoint au maire, il aurait d’ailleurs aidé des adhérents du Front National (il me cite 4 noms pour étayer ses propos.)

Comble de l’hypocrisie, lorsque je vais régler la note, la patronne du restaurant me dit que monsieur MOUTET m’a offert des cafés qui se trouvent au bar.

Après avoir fait honneur aux cafés, je me rends à sa table pour le remercier et lui serrer la main ainsi qu’aux deux autres convives dont un élu de Pont-à-Mousson.

Entendant souvent parler du « vivre ensemble » j’avais cru naïvement qu’il voulait « enterrer la hache de guerre » malgré nos différences partisanes avant sa convocation judiciaire.

La logique aurait voulu qu’il me serre la main place Foch après l’épisode du restaurant au lieu de refuser ostensiblement de me tendre la main au nom de la « morale républicaine ».

Comme le dit si bien le prophète musulman ALLAH ALIH WA SALAM : « le pire des personnes est la double face qui présente un visage à certains et un autre à d’autres »
Si ce genre de comportement se propageait, la société ne serait plus sur le droit chemin, personne n’aurait plus confiance en personne et la société se décomposerait, ce qui engendrerait la multiplication de la trahison et des mauvaises intentions.

Comment faire confiance à un élu qui avance masqué, comment respecter la morale républicaine du « Janus de Pont-à-Mousson » qui n’hésite pas à orienter son voile en fonction du vent et à changer d’allégeance. Comme le disait ironiquement le radical de gauche mais respectable Georges CLEMENCEAU ; « celui qui quitte votre parti est un traître. Celui qui vient d’un autre parti pour rejoindre le vôtre est un converti »

Ancien militaire, homme d’honneur et de fidélité, je préfère la ligne droite à la ligne courbe, la vérité aux mensonges et je saluerai désormais Janus, sans haine mais à distance.

Jean-Luc MANOURY
Secrétaire FN du canton de Pont-à-Mousson

mercredi 8 juin 2011

AVEC OU SANS TERRASSE D'ETE, IL FAUDRA SE METTRE AUTOUR DE LA TABLE !


Un article de l'Est Républicain dans l'édition de Pont-à-Mousson du mercredi 8 juin 2011 fait l'écho d'une mise en demeure par la mairie de démonter la terrasse de la crêperie « la Galette d'Or ».

Ayant été sollicité par des mussipontains, je souhaite donner ma position et mes propositions.

D'abord la loi doit être respectée conformément aux articles L-2122 et L-2212-2 du Code Général des collectivités territoriales à savoir qu'avant toute installation d'une terrasse, une demande d'autorisation écrite doit être adressée à la mairie ce qui ne semble pas être le cas. Une autorisation orale n'a aucune valeur juridique.

Ensuite, Monsieur LEMOINE, représentant de l'Etat, conformément à ses pouvoirs de police « est l'autorité compétente pour prendre et faire respecter les mesures nécessaires au maintien de l'ordre, de la sécurité et de la salubrité publique sur le territoire de sa commune ».

Enfin, le maire a toute latitude pour délivrer à titre personnel à une personne physique et morale cette autorisation précaire et révocable qui peut être retirée à tout moment pour motif d'ordre public par exemple. Cette autorisation est délivrée sous réserve du respect des documents d'urbanisme (PLU) sans nuisances pour l'environnement et la terrasse doit laisser un espace suffisant aux piétons et aux services de sécurité pour circuler.

Ce qui m'amène à plusieurs interrogations :

Pourquoi la crêperie de la rue Clémenceau sans autorisation écrite de la mairie installe depuis trois ans une terrasse en empiétant sur le domaine public (plancher de bois sur deux places de parking) ?

Pourquoi la municipalité de Pont-à-Mousson réagit seulement au bout de trois ans alors que le commerçant a investi 6 000 euros avec notamment l'achat de nouveau mobilier et a crée trois emplois supplémentaires ?

Étant régulièrement sur le terrain, je m'interroge sur les critères et objectifs de reconduite des autorisations des terrasses en me demandant s'il n'y aurait pas deux poids et deux mesures pour certains emplacements ?

Les terrasses sont-elles soumises à une redevance de l'espace public ?

Mes propositions :

Je propose dans le respect de la loi qu'un dialogue constructif s'installe entre l'association des commerçants de Pont-à-Mousson, les riverains et la municipalité afin de trouver un équilibre entre l'intérêt général et l'intérêt particulier.

Je propose une charte des terrasses afin d'éviter toute clientélisme avec un règlement et notamment sur le mobilier qui devra présenter un aspect qualitatif (ex : terrasse de la Place Stanislas à Nancy avec la nature et la coloration des matériaux exploités).

Alors que la saison touristique estivale dans notre ville va bientôt commencer et que trois emplois sont en jeu, il semble nécessaire d'appliquer le statu quo pour la quatrième année avec obligation impérative de se mettre en conformité avec la loi pour l'année prochaine.

Avec ou sans terrasse d'été à la « Galette d'Or », en dégustant éventuellement une bonne crêpe et une bolée de cidre il faudra de toute façon se mettre autour de la table entre élus, riverains et commerçants !

Notre ville y gagnera en sérénité.

Jean-Luc MANOURY
Vice-Président du groupe FN
au Conseil Régional de Lorraine
Secrétaire du canton de Pont-à-Mousson

mercredi 1 juin 2011

AGENDA DU 01 AU 15 Juin 2011


03 juin
Formation des Elus (Besançon)

04 juin
Formation des Elus (Besançon)

06 juin
Conseil d’Administration d’une association patriotique (Nancy)
Vernissage de l’exposition « artistes Algériens, Passerelles Solaires » au CG 54

07 juin
Parlement européen (Strasbourg)

08 juin
Journée nationale d’hommage aux « morts pour la France » en Indochine
(Nancy et Pont-à-Mousson)

09 juin
Institut pour la Justice (Nancy)

11 juin
Journée de rencontres (Pont-à-Mousson)

14 juin
Commission des Marchés Publics (Metz)

15 juin
Forum Emploi (Nancy)