"Soyons fermes, purs et fidèles ; au bout de nos peines, il y a la plus grande gloire du monde, celle des hommes qui n'ont pas cédé." Charles de Gaulle.

mardi 21 juin 2011

Des élus se fourvoient dans le soutien aux clandestins !


Des élus se fourvoient dans le soutien aux clandestins !

L’Est Républicain dans son édition mussipontaine s’est fait l’écho du soutien de six élus dont la Vice-présidente du Conseil Régional Jacqueline FONTAINE d’Europe Ecologie et le Vice-président socialiste au Conseil Général Olivier JACQUIN à des familles locales arméniennes, kosovares, marocaines, turques qui habitent Pont-à-Mousson ou Pompey menacées d’expulsion en organisant un parrainage républicain.
Bernard BERTELLE, adjoint au maire de Blénod-les-Pont-à-Mousson déclare même dans les colonnes du journal régional « Quand on m’a expliqué leur situation, j’ai dit, pas de souci, je suis disponible. Je ne sais pas dans quoi je me lance, mais il n’y a pas de risque à prendre cet engagement ».

Cette attitude des élus de gauche est scandaleuse parce que ces clandestins sont en France à la demande d’un certain patronat sans scrupules pour faire pression à la baisse sur les salaires des Français dont elle a oublié l’existence. Alors que de nombreux habitants de Pont-à-Mousson ne peuvent boucler leurs fins de mois ce soutien aux clandestins démontre le choix clair fait par la gauche : l’abandon des Français en détresse sociale au profit de « l’armée de réserve du capitalisme » : les immigrés.

Cette attitude des élus de gauche est illégale. Les « parrainages républicains » sont des actions faites en contradiction totale de la loi républicaine qui cherchent à faire échec à l’exécution de la loi (manœuvres sanctionnées par les articles 432-1 et 342-2 du code pénal).

En ne dénonçant pas au procureur de la république les délits dont ils ont connaissance (faute sanctionnée par l’article 40 alinéa 2 du code de procédure pénale) ces élus violent l’article L.622-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers en France, qui prévoit que :

« Toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l’entrée, la circulation ou le séjour irrégulier d’un étranger en France sera punie d’un emprisonnement de 5 ans et d’une amende de 30.000 euros »

Jean-Luc MANOURY, Vice- président du groupe FN au Conseil Régional de Lorraine manifeste sa totale opposition aux régularisations d’immigrés clandestins « sans papiers » et aux « idiots utiles » qui au nom d’un humanitarisme dévoyé se font les complices de la « traite négrière » du XXI siècle...