Le candidat déclaré du Parti Radical de Gauche dans la 6ème circonscription, connu pour une faillite retentissante dans la gestion du cinéma de notre ville dont la dette avait été supportée par les contribuables mussipontains écrit toujours la même antienne dans son blog sur mon parachutage à Pont-à-Mousson alors que j’habite à Nancy comme monsieur le député LE DEAUT.
Si monsieur MOUTET, l’adjoint au maire et son mentor en politique avait été présent lors de la matinée d’accueil des nouveaux arrivants il aurait pu l’informer de ma présence à cette manifestation. Pour ce mauvais metteur en scène, c’est parce que j’aurai subi un lourd échec aux dernières élections législatives dans la quatrième circonscription que je serais candidat dans la sixième. C’est vrai que même si j’avais obtenu le meilleur score des candidats investis par le Front National en Meurthe-et-Moselle aux élections législatives de juin 2007, notre électorat sensible aux sirènes de Nicolas SARKOZY ne s’étant pas mobilisé je n’avais eu que 6% des suffrages exprimés. Mais aux élections cantonales de mars 2008, j’obtenais 1089 voix dans le canton de Lunéville Sud soit 1000 voix de plus que le candidat Front National qui en mars 2004 bien que très implanté dans la cité cavalière avait obtenu 985 voix soit 10,65%. Il utilise toujours les mêmes poncifs éculés : le FN n’est pas un parti politique seulement le 3ème de France) et c’est un Front Familial avec à sa tête la fille du « châtelain parisien »
Ce qui prête à sourire lorsque l’on sait que Jean-Michel BAYLET, président du P.R.G, sénateur du Tarn et Garonne, président du Conseil Général du Tarn et Garonne, président d’une communauté de commune et Conseiller Municipal, président du conseil de surveillance de la centrale nucléaire de Golfech et d’un syndicat d’irrigation est l’archétype même du cumulard qu’il dénonce en parlant du député sortant.
Président-directeur général et héritier du groupe de presse la Dépêche et aussi propriétaire avec sa femme de l’hebdomadaire le Républicain. Celui dont la fortune selon le magazine Challenges en 2010 s’élève à 50 millions d’euros a été condamné le 13 mars 2003 par la cour d’appel de Toulouse à 6 mois de prison avec sursis et 30.000 euros d’amende pour abus de biens sociaux et a été mis en examen en 2009 pour « infraction au code des marchés publics » ( les démêlés judiciaires semblant être une constante pour ces donneurs de leçon du P.R.G) .
Bref, je suis radicalement à l’opposé de cette « élite politique » et je livre au Pierre TCHERNIA de la 6ème circonscription la citation de Boris VIAN : « Cinéma : un des seuls métiers où l’on puisse arriver à être célèbre en n’étant ni intelligent, ni bon comédien ni distingué, ni instruit : on comprend qu’il y ait tant de demande »
Jean-Luc MANOURY, billet d’humeur
