C’est le 08 octobre 2008 que madame Yvette TRUCHELUT dit « Fanny », attendait avec une certaine anxiété le verdict de son procès en appel du 3 septembre 2008 à Nancy.
Cette propriétaire d’un gîte rural dans les Vosges parce qu’elle avait demandé à une cliente, madame Horia DEMIATI , de retirer son voile dans les parties communes de son gîte s’était vu lourdement condamné lors du verdict d’Epinal en octobre 2OO7 , à 4 mois de prison avec sursis et à 8490 euros de dommages et intérêts.
Cette femme de 54 ans, depuis 2 ans vit un véritable calvaire. Aujourd’hui, elle a tout perdu, son gîte est en vente, elle se retrouve seule avec ses deux plus jeunes enfants à charge et sa situation économique est difficile..
Une longue suite de souffrances morales, de désinformation pour cette vosgienne qui a vu sa vie basculer, les calomnies pleuvoir, les anathèmes tomber. L’attitude haineuse des trois mousquetaires de l’antiracisme (MRAP, LICRA, LDH) voyant en elle une ignorante, une intolérante, une délinquante raciste et montrant le mépris de la « bobocratie de gauche » vis-à-vis des couches populaires, systématiquement accusé d’être raciste quand ils réclament le droit à la sécurité ou affichent leur ras-le-bol devant les zones de non droit de la République, abandonnées aux petits caïds et aux imams.
Un véritable fossé se creuse entre l’exaspération croissante des français face à la progression visible et spectaculaire du nombre de femmes voilées dans la rue et l’aveuglement ou le manque de courage d’une classe politique qui croit acheter la paix sociale en multipliant les concessions devant les islamistes.
Le verdict de ce procès est un véritable enjeu pour la société française car la confirmation du procès d’Epinal serait ressentie par les prosélytes de l’islamisme radical comme une faiblesse de la république et un encouragement à multiplier les intimidations judiciaires et à se lancer dans une surenchère de revendications diverses.
Comme condamnation pénale, la cour à requis 2 mois de prison avec sursis pour discrimination fondée sur la religion et 4000 euros de dommages et intérêts pour les parties civiles et 1 euro symbolique pour le MRAP, la LICRA et la LDH à l’encontre de madame TRUCHELUT qui doit maintenant se reconstruire car l’on ne sort pas indemne d’une telle épreuve.
Pour les officines de l’antiracisme c’était un moyen de gagner de l’argent à bon compte sur le dos d’une pauvre femme et le MRAP à déjà trouvé un nouvel os à ronger car il vient de porter plainte contre madame Patricia GERBER , gérante d’une auto-école à Pavillons-sous-bois en Seine Saint-Denis, en vertu de l’article 225-2 du code pénal., pour avoir refusé l’inscription dans son établissement d’une femme française Sabek Kadi .Cette dernière portait le tchador qui est incompatible avec le règlement intérieur de l’auto-école qui prohibe, la casquette, le bonnet ,le foulard ou le turban pour conduire.
Un nouveau procès en perspective !