Profondément attaché à la liberté d’expression il considère
que le GUD de Nancy, même si c’est un groupuscule, d’une dizaine de membres,
non représentatif de la jeunesse nationaliste en Lorraine a le droit de
s’exprimer. Les étudiants affiliés à ce syndicat, s’ils disposent d’une carte
d’étudiant ont toute légitimité à se déplacer sur les campus et à distribuer
des tracts sans être agressé par l’extrême-gauche qui préfère la
« dialectique de la barre de fer » à toute discussion.
Comme l’écrivait Thucydide : « moins les hommes
raisonnent, plus ils agissent avec violence. »