"Soyons fermes, purs et fidèles ; au bout de nos peines, il y a la plus grande gloire du monde, celle des hommes qui n'ont pas cédé." Charles de Gaulle.

samedi 14 novembre 2009

Banlieue de Nancy : des braqueurs ouvrent le feu !


Le bureau départemental de la fédération de Meurthe-et-Moselle du Front National s’étant réuni le samedi 14 novembre s’inquiète de l’escalade de la violence dans la banlieue de Nancy. En effet vendredi, à Dombasle lors de la fermeture du supermarché Match à 19H30, deux individus vêtus tout en noir, cagoulés et armés font irruption à l’intérieur du magasin. L’un n’hésitant pas à remonter les caisses, en pointant son arme sur les 6 caissières afin de se faire remettre de l’argent. L’une d’elle profondément en état de choc, a été admise aux urgences de l’hôpital central de Nancy. Son complice, avant de prendre la fuite, à ouvert le feu une seule fois avec son fusil à pompe en direction du plafond. Une demi-heure plus tard, vers 20H00, c’est la station essence de l’hypermarché Auchan de Laxou à 2 km de Nancy, qui était la cible d’une tentative de braquage et pour terminer le « vendredi noir de l’insécurité » un individu la tête dissimulée sous une capuche s’est présenté dans un hôtel de la vieille ville de la cité ducale en menaçant le réceptionniste de nuit en réclamant « la caisse sinon je te bute » (Est Républicain du 14/11/09) puis à pris la fuite avec une caissette en métal vide.

Les propos lénifiants de monsieur HORTEFEUX et les statistiques truquées, ne peuvent faire oublier une explosion de l’insécurité toujours plus violente dont le premier responsable de cette situation est Nicolas SARKOZY. Ancien ministre de l’intérieur, Président de la République il a été incapable d’éradiquer l’insécurité comme il s’y était pourtant engagé. Laxistes avec les délinquants, SARKOZY sait en revanche être répressif avec les automobilistes en multipliant les radars dans notre département.

Pour en finir avec le sentiment d’impunité des délinquants, les membres du bureau départemental préconisent d’abord la réhabilitation de la notion de peine prompte et incompressible, ensuite la mise en place d’une politique réellement coercitive contre les mineurs délinquants ainsi que les récidivistes et enfin demandent le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus graves.

Jean-Luc MANOURY
Membre du Comité Central
Secrétaire Départemental du FN 54