Depuis des
années, la fédération
du Front National de
Meurthe-et-Moselle ne cesse
d’alerter les pouvoirs
publics sur l’insécurité
grandissante et plus
particulièrement à Nancy.
Le maire de Nancy
en bon radical pour
lutter contre le « sentiment
d’insécurité » avait
prôné initialement la
mise en place de médiateurs pour
découvrir enfin après
les dernières élections
présidentielles et législatives
qu’il y avait
de l’insécurité
à Nancy au point
d’alerter monsieur le
préfet au mois de
septembre et d’écrire
au Président de la
république en évoquant
les problèmes de toxicomanie.
Depuis l’annonce
par Manuel VALLS du
classement de Nancy
en zone de sécurité
prioritaire (Z.S.P) c’est
la belle unanimité
entre la gauche et
la droite nancéienne.
André ROSSINOT
voulant accompagner
ce dispositif va créer
en 2013, 10 postes
supplémentaires de policiers
municipaux car comme
il l’a déclaré
dans l’Est Républicain
du 16 novembre 2012 :
« on peut être
rond dans son physique
et musclé dans son
action ».
Mathieu KLEIN,
Vice-président socialiste
au Conseil Général de
Meurthe-et-Moselle, conseiller
municipal d’opposition
et candidat PS aux
municipales nancéiennes
en 2014 déclare dans
le même quotidien
régional que « la
sécurité est une
problématique de société
qui doit remonter en
haut de la pyramide
municipale » et l’élu
de proposer la création
d’un office municipal
de la tranquillité.
La lutte contre
la délinquance implique
la mise en place
d’une politique
courageuse et le
Front National de Meurthe-et-Moselle
exige :
-
une politique de fermeté et
de tolérance zéro en
matière d’insécurité.
-
l’application des
peines fermes, rapides et
incompressibles en matière
de justice
-
l’arrêt de l’immigration
-
Construction de places
de prison (il en
manque 40.000)