LES MEDIEVALES 2020

Depuis la 1^ère édition en 2011 sous l’égide d’Alain ALMASIO, les médiévales de Pont-à-Mousson qui ont lieu tous les deux ans  se déroulaient sans discontinuité sous une belle météo.

Cette année la pluie était malheureusement au rendez-vous et peu de visiteurs avaient fait le déplacement malgré des animations attrayantes à l’île d’Esch.

De GAULLE aime l’EST

 

Au siège de l’association Demain De Gaulle Frédérique NEAU-DUFOUR agrégée et docteure en histoire présenta son dernier livre : De GAULLE aime l’Est.

Dans ce livre vivant, documenté et très illustré, l’auteure nous emmène sur les pas de Charles de Gaulle dans ces régions frontalières qui recoupent à peu de chose près le Grand Est actuel : dans les terribles combats de Verdun, dans l’intimité de sa vie familiale sur les terres de Champagne-Ardennes où il s’installe en 1934, à la tête des chars qu’il commande à Montigny-Lès-Metz en Moselle ou durant la drôle de guerre à Wangenbourg en Alsace. De GAULLE fait de la libération de l’Alsace et de la Moselle une priorité nationale. Il mène ensuite d’autres combats, institutionnels avec le discours d’Epinal, et politiques avec le RPF qu’il lance à Strasbourg en 1947. Son action de président de la République le mène souvent dans ces départements si chers à son cœur où il compte de forts soutiens et où, à Reims, il scelle la réconciliation franco-allemande.

Et c’est à Colombey-les-Deux-Eglises, dans son modeste village, qu’il se retire et choisit de reposer pour toujours.

 

76ème anniversaire de la libération de Pont-à-Mousson

Le  jeudi 17 septembre 2020 avait lieu le 76^ème anniversaire de la libération de Pont-à-Mousson par les troupes alliées aidées des Forces Françaises de l’Intérieur en présence de la députée de la 6^ème circonscription Caroline FIAT. Le maire Henry LEMOINE qui ne porte jamais son écharpe l’avait revêtue  pour l’occasion sans doute pour bien montrer que malgré le fait qu’il ne représente que 20% des mussipontains inscrits, il est bien le 1^er édile de Pont-à-Mousson.

Sur les pavés la peinture place DUROC à Pont-à-Mousson !

Cette place emblématique de la ville de Pont-à-Mousson tient son nom de Michel Duroc natif de la ville qui deviendra duc de Frioul et grand maréchal du palais de Napoléon 1^er, de forme triangulaire  est le plus vaste ensemble d’arcades renaissance existant en Lorraine.

Les pavés de la place sont actuellement revisités par des « artistes » qui repeignent des pavés centenaires. Après sous les pavés, la plage slogan de mai 1968, sur les pavés la peinture à Pont-à-Mousson !

Comme le disait Victor HUGO dans les orientales : « qui veut la liberté  de l’art doit vouloir la liberté de la critique »

Invitation au barbecue de DLF grand est par le secrétaire général Pierre Jean Robinot.

Inauguration de l'exposition 1870 : une guerre oubliée.

MASQUES ET MASCARADE (Suite)

Alors que l’Agence Régionale de Santé a confirmé qu’un enfant de 11 ans à l’école Pierre DOHM de Pont-à-Mousson avait été testé positif au COVID 19 beaucoup de mussipontains attendent toujours une  distribution de masque promise dans un courrier du maire en date du 6 mai 2020.

Certes, dans ce courrier il était précisé  que la commande de 15000 masques tissus ne sera honorée en une fois et que pour palier ce retard la communauté de communes avait commandé  6500 masques supplémentaires et que par conséquent les personnes âgées de plus de 65 ans seront prioritaires.

Malgré les belles annonces de communication, nous sommes le 27 mai et 3 semaines après  nous attendons toujours des masques à Pont-à-Mousson  mais le nouveau conseil municipal a été installé et Henry LEMOINE le maire LR allié à la LREM a été réélu et ça c’est l’essentiel pour les 20% d’électeurs qui l’on élu.

MASQUES ET MASCARADE

En ce qui concerne le port du masque,  après avoir entendu d’abord,  qu’il avait une utilité  et que des millions de stock pourraient être  distribués en cas de besoin, ensuite que les masques étaient inutiles voire dangereux si on ne savait pas s’en servir et qu’enfin ils étaient maintenant nécessaires voire obligatoires dans les transports pour le dé-confinement prévu.

Paroles contradictoires et mensongères notamment en ce qui concerne leur disponibilité pour le public.

En confinement  depuis le 17 mars 2020, je vais enfin reprendre le travail  le 11 mai  et pour utiliser le train et le tram de Nancy je dois porter un masque sinon je devrai m’acquitter d’une amende de 130 euros.

Mais à Pont-à-Mousson  les pharmacies n’ont pas de masques à vendre et le buraliste de ma rue n’en a toujours pas reçu.  La mairie de Pont-à-Mousson en a commandé 15000 pour distribuer aux habitants mais comme le dit  pudiquement le maire dans l’Est Républicain du jeudi 07 mai : « la livraison prévue cette semaine pourrait avoir du retard ».

Le 11 mai, je devrai me mettre un slip sur la tête pour aller travailler ou prendre une voiture ?

UN DECONFINEMENT SOUS CONDITION

Malgré les promesses péremptoires d’Emmanuel MACRON annonçant un dé-confinement pour le 11 mai 2020, le premier ministre  en présentant son plan de dé-confinement à l’assemblée nationale, a été beaucoup plus circonspect sur cette date.

Edouard PHILIPPE a  en effet déclaré le mardi 28 avril 2020 « je le dis aux français, si les indicateurs ne sont pas au rendez-vous, nous ne dé-confinerons pas le 11 mai ».

Le 1^er ministre considère  que la réalité de la crise sanitaire est bien plus complexe que de simples promesses présidentielles. Selon lui, les mesures seront adaptées par département et la date du 11 mai conditionnée à un réel reflux de l’épidémie qui ne se profile toujours pas. Pour mémoire, le 28 avril 2020, il y a eu 153 nouvelles admissions supplémentaires en réanimation à l’hôpital  et 26660 décès en France à cette date.

On peut d’ailleurs se demander  pourquoi après plus de 6 semaines de confinement, le respect des « gestes barrières », il y a chaque jour de nouvelles admissions à l’hôpital et toujours des décès.

En conclusion,  si le dé-confinement est une nécessité économique, il reste sous condition et nous espérons qu’à partir du 11 mai nous disposerons enfin selon les annonces du 1^er ministre de masques et de tests  en nombre suffisants pour éviter une récidive de la pandémie.

L’espoir fait vivre !

LE TARTUFFE DE L’ ELYSEE

Le lundi 13 avril 2020, Emmanuel MACRON face à plus de 35 millions de téléspectateurs s’est prêté à son exercice favori celui de s’adresser aux français pour leur donner des perspectives d’avenir après un mois de confinement.

Encore une fois, il a joué un rôle,  celui de la fausse compassion celui du Tartuffe un personnage hypocrite de Molière qui ment en permanence en faisant semblant d’être très pieux alors qu’il ne l’est pas.

Le président de la république a oublié sur la forme de présenter des excuses aux français pour avoir minimiser cette crise sanitaire en nous incitant à sortir au théâtre le 7 mars alors que le 11 janvier Agnès BUZIN, la ministre de la santé l’avait alerté sur la gravité de la pandémie, en nous incitant à voter le 15 mars pour les municipales et en tolérant que la porte- parole de l’ Elysée et des ministres dise qu’il n’était pas nécessaire de porter des masques.

Il a oublié de présenter des condoléances aux familles pour les 15000 personnes décédées à ce jour du COVID 19.

MACRON a oublié de présenter des excuses aux français sur l’impréparation de notre pays, la 6^ème puissance du monde à faire face au manque de lits de réanimation dans les hôpitaux, de tests, de masques dont 2 milliard de masques arriveront fin juin selon DRIAN, le ministre des affaires étrangères.

Sur le fond  il annonce un dé-confinement progressif à partir du 11 mai mais il reste flou sur les modalités mises en œuvre. Il ose parler de masque « grand public » ce qui ne veut rien dire. Il veut réserver les tests aux personnes malades mais logiquement pour dé-confiner dans de bonnes conditions il faut tester tout le monde pour isoler les malades et éviter la propagation du virus. En effet,  ouvrir les écoles à 12 millions d’élèves et un million d’enseignants,  c’est favoriser un « bouillon de culture ».

Pour conclure,  il voudrait qu’on lui fasse confiance mais derrière les belles paroles peu d’actes concrets.

 Il devra après le confinement rendre compte aux français de sa gestion calamiteuse car il est responsable mais aussi coupable.

79% des français pensent que Macron ne sait pas où il va !

Le Figaro publie un sondage ODOXA accablant pour le gouvernement car la confiance des français envers les autorités est en chute libre et 79% des sondés pensent que le président MACRON ne sait pas où il va.

Les français n’adhèrent  plus du tout au discours anesthésiant du président MACON qui passe son temps à se féliciter des décisions prises par l’exécutif tout en cachant la tragique vérité à savoir que la France n’a jamais été prête et ne l’est toujours pas ( manque de masques, manque de respirateurs…).

C’est une triste réalité  car la situation s’aggrave. Après le Grand Est, ce sont les hôpitaux de l’Ile-de-France qui sont saturés avec plus de 200 soignants contaminés au CHU de Mulhouse et plus de 500 à l’AP-HP en région parisienne.

Les autorités après nous avoir menti en nous disant que la France était prête  et qu’il n’y avait aucune pénurie de masques ont fini par reconnaître que le stock stratégique était quasiment à zéro depuis 2011.

Depuis 10 ans pour économiser quelques dizaines de millions d’euros  les gouvernements ont mis la santé des français en péril mais ces mêmes gouvernements ont dépensé 10 milliards d’€ pour soigner les sans- papiers sans compter le coût des 120 milliards d’ € par an de l’immigration alors que notre système de santé est déjà paupérisé.

Faute d’avoir commandé des masques, des kits de dépistage et des respirateurs dès le mois de janvier, MACRON est réduit à imposer le confinement généralisé pour les français qui va détruire notre économie avec déjà en un mois 3 points de PIB en moins soit 69 milliards d’ €.

Bref nous assistons à un pouvoir aux abois qui a menti aux français et qui tente vainement de faire illusion.

L’IMPREPARATION SANITAIRE

La pandémie de COVID 19 a montré que  la France au plan sanitaire n’était pas prête.

En effet,  cette crise gravissime nous a appris qu’en France, il n’y avait plus de réserves de masques, qu’il n’y avait plus de gel hydro-alcoolique, que notre budget recherche était en berne depuis des années  et que le manque du personnel soignant était criant surtout lorsque ceux qui sont testés positifs  au CORONAVIRUS dégarnissent une organisation déjà défaillante.

Quel honte de voir qu’en France «  notre service de santé que tout le monde nous envie » soit obligé de faire la manche, les laboratoires de recherche fondamentale en appelle  à la générosité des particuliers, que l’ état demande aux entreprises de donner leurs réserves de masques et en appelle aux personnels de santé à la retraite  comme les médecins, les infirmiers mais aussi aux étudiants dans une filière médicale pour palier à la pénurie.

Le constat est que notre système de soins ne peut affronter une crise grave en cas d’engorgement de l’hôpital et que les hommes politiques qui nous gouvernent devront rendre compte de leur incurie.

En effet,  de 2013 à 2018, le tout économique prévalant ce sont 17.500 lits  qui ont été supprimés et qu’en 2019, 4 172 lits supplémentaires ont été fermé.

La situation est tellement catastrophique grâce au génial MACRON que la Suisse,                                l’Allemagne et le Luxembourg accueillent désormais des malades français.

Le retour de l’économie administrée

En quelques jours l’économie européenne dont celle de la France a changé de nature. On est passé d’une économie de marché à une économie administrée.

En effet depuis la fin de la seconde guerre mondiale, le capitalisme fonctionne grâce au moteur de la consommation de masse et la libre circulation de la monnaie. Ceci justifie la financiarisation de l’économie qui permet aux entreprises et aux ménages de « vivre au-dessus de leurs moyens ».

Des prêts sont attribués par les banques pour moderniser les entreprises, permettre un achat immobilier pour les ménages et des organismes de crédit octroient un prêt à la consommation.

Il faut toujours consommer plus même au détriment de l’écologie pour maintenir ce système économique mais il suffit d’un grain de sable pour le fragiliser.

Aujourd’hui le maintien de l’économie marchande avec la crise du coronavirus n’est plus possible. Les entreprises n’ont plus aucune visibilité pour le court terme et le long terme et les consommateurs réduisent leurs dépenses au strict nécessaire comme l’alimentation avec parfois des réactions disproportionnées comme le stockage alimentaire.

Force est de constater que face à cette crise sanitaire c’est l’Etat protecteur si décrié par les néo-libéraux qui est le seul capable de jouer un rôle d’amortisseur pour éviter une crise économique.

En effet l’Etat est obligé de se substituer au marché pour assurer les revenus des entreprises et des ménages. En clair une immense partie des prestations monétaires qui sera distribuée durant la crise ne sera pas adossée à une production de marchandises.

L’Etat prendra à son compte le renflouement des remboursements bancaires à hauteur de 300 milliards d’€ et un fond de solidarité viendra compenser le revenus des indépendants et prendre en charge le chômage partiel dans les entreprises. 45 milliard d’ € est aussi prévu pour le report des charges des PME, TPE en difficulté.

Ces  dispositions sont coûteuses mais c’est le prix à payer pour éviter la catastrophe économique et rebondir après cette crise.

 Fallait-il annuler les élections municipales !

Alors que beaucoup de personnalités du monde médical  incitaient les français à appliquer le confinement maximum et à ne pas aller voter, Emmanuel MACRON lui a refusé d’annuler  les élections municipales en pleine pandémie en mettant en danger la vie des français.

J’ai tenu par civisme un bureau de vote à Pont à Mousson et certes nous avions avec mes assesseurs des gants en latex  et du gel  hydro-alcoolique à notre disposition  mais pendant deux heures pas de masque pour recevoir du public.

1^ER TOUR DES MUNICIPALES

Même si une élection municipale n’est pas stricto sensu une élection partisane, les « souverainistes » de Pont-à-Mousson qui représentent 30% des électeurs (RN, DLF, CNIP, PCD, UPR) ne seront pas représentés dans la prochaine mandature.

Ils doivent donc se poser les questions suivantes avant d’aller voter.

1° Laquelle des 3 listes en lice est plus utile pour notre ville, son attractivité, son avenir ?

2° Faut-il maintenir le statu quo, la continuité du passé ou bien tenter l’aventure, un nouveau souffle pour l’avenir avec une nouvelle équipe ?

3° Faut-il sanctionner la seule liste « apolitique » qui a le soutien du parti d’Emmanuel MACRON ?

4° Faut-il s’abstenir car l’offre politique ne nous convient pas ?

Que chacun en son âme et conscience vote ou ne se déplace pas.

LES 25 ANS DE LA MAISON CHARLES DE GAULLE DE LORRAINE

L’association « Demain De Gaulle » dont les statuts déposés en 1992 «  entend veiller à ce que à l’Avenir, l’Œuvre et la Pensée de l’homme du 18 juin soient une source d’inspiration pour tous » a lancé il y a 25 ans une souscription publique pour devenir propriétaire à Nancy d’un local : La Maison Charles de Gaulle de Lorraine.

Ce fut l’occasion le samedi 7 mars pour les membres de l’association d’une soirée anniversaire lors d’un repas musical et l’occasion d’évoquer  les soutiens de l’époque à cette initiative  comme Pierre MESMER ou Yves DUTEIL.

Une ambiance conviviale et festive autour du président Jean- Max GETTMANN et son équipe.

Le C.N.I.P 54 apporte son soutien à la liste « UNIS POUR NANCY »

Jean-Luc MANOURY délégué départemental du Centre National des Indépendants et Paysans, le plus vieux parti de la droite française et qui porte des valeurs conservatrices et libérales, apporte au nom de son parti son soutien à Patricia MELET, tête de liste Divers Droite de la liste « Unis pour Nancy ».

 Le CNIP pour les valeurs qu’il porte ne peut cautionner les alliances improbables et le comportement de Laurent HENART qui en bon radical pratique en permanence le grand écart politique entre La République En Marche et les Républicains.

Il invite ses adhérents, sympathisants et abstentionnistes à se mobiliser dès le premier tour.

Utilisons le 49/3 municipal !

Avec le triste feuilleton de la réforme des retraites qui dure depuis 2 mois et demi, les partisans d’Emmanuel MACRON ont montré leur incompétence à réformer le pays dans la sérénité.

En effet, cette réforme n’est pas financée, le Conseil d’Etat et la Cour des Comptes ont émis des objections  et bientôt certainement le Conseil Constitutionnel.

Edouard PHILIPPE a utilisé le 49/3, un véritable aveu d’impuissance pour mettre fin au débat parlementaire et faire adopter cette loi.

J’espère qu’il sera battu aux municipales  dans sa ville du Havre et que les électeurs utiliserons contre lui le 49/3 municipal.

Le représentant local de LREM, Anthony VELVELOVITCH futur adjoint au maire d’Henry LEMOINE qui est derrière le président MACRON à 600% (CF article dans Est Républicain) est bien silencieux !

LE CORONAVIRUS ET LES MUNICIPALES !

Depuis plus d’un mois,  les français constatent que l’épidémie de CORONAVIRUS qui a frappé initialement la chine pour s’étendre à l’Europe,  va provoquer si elle continue à se développer,  une désorganisation du système des échanges.

On parle beaucoup de la crise de l’industrie touristique, des difficultés d’approvisionnement en pièces détachées et composants électroniques et en médicaments puisqu’une part très importante, des principes actifs pour l’industrie pharmaceutique sont fabriqués en chine.

Les élections municipales pour l’instant passent donc au second plan.

Le dépôt officiel des listes a été validé par les préfectures et il est révélateur de constater que certains membres  LR  comme le maire de Saint Max, un vrai gaulliste se présente sous l’étiquette « Les Républicains » en élargissant sa liste à un membre de DLF alors que beaucoup comme celui de Pont-à-Mousson se présente « Sans étiquette » tout en étant  soutenu par LREM.

Comme me l’a dit un mussipontain rencontré ce Week-End : « Voter LEMOINE c’est voter MACRON ». Le raccourci est certainement facile mais l’on peut déjà prévoir une abstention record car la droite de conviction, souverainiste non représentée  ne va pas se mobiliser car il n’y a pas d’enjeu majeur. Par conséquent le maire sera vraisemblablement élu au premier tour le 15 mars car son bilan de mandat est bon.

Les deux listes d’opposition « sans étiquette partisane » représentent certes des collectifs de citoyens  humanistes et écologistes mais ne semblent pas capables de changer la donne.

UN EX-FRONT NATIONAL SUR LA LISTE DU MAIRE LR DE PONT-A-MOUSSON

Le maire Henry LEMOINE candidat à sa propre succession pratique le grand écart en politique. Il a le soutien de la République en Marche et en même temps celui du parti Les Républicains. Il refuse la présence de Jean-Luc MANOURY membre du CNIP sur sa liste car c’est un ancien élu du FN mais en même temps accepte sur sa liste un ancien adhérent du Front National.*

Quoi qu’il en soi, souhaitons le meilleur pour notre ville car Pont-à-Mousson reste notre passion. !

*Cette personne dont je ne révélerai pas l’identité car tout le monde peut évoluer dans son parcours politique avait la carte AB 284629 même si aujourd’hui elle semble être proche d’Emmanuel  MACRON, le mouvement de tous les opportunistes de droite et de gauche.

OBJECTIF TRANSPORT DU FUTUR A LA MAISON CHARLES DE GAULLE DE LORRAINE

Le samedi 15 février,  La maison Charles de Gaulle recevait le photojournaliste nancéien Francis DEMANGE pour présenter son livre « Pionniers d’un monde durable ».  Après avoir parcouru la planète pour l’agence GAMMA, ce photographe nous a raconté  son aventure avec deux « Saventuriers » Bertrand PICCARD (concepteur et pilote de l’avion solaire, Solar Impulse) et Alain THEBAUT (concepteur et pilote du bateau l’Hydroptère et inventeur du Sea Bubble- taxi volant sur l’eau) ;

Un récit passionnant, de très belles images, des technologies du Futur qui nous permettent d’imaginer les transports du futur pour un monde durable.

Spectacle de Michel DRUCKER "de vous à moi" ce vendredi 7 février 2020 à l'espace St Laurent à Pont-à-Mousson.

LA DROITE ALIMENTAIRE

la lettre des indépendants de Pont-à-Mousson.

15 ème salon vin pain fromage et produits régionaux à l'Abbaye des Prémontrés.